Cette fois-ci, La Comédie de Valence s'est associée avec un partenaire culturel, Valence ville d'art et d'histoire, pour une visite guidée et commentée, dans le centre ancien de la ville, sur le thème des lieux de théâtre à Valence. Une manière d'appréhender l'histoire du théâtre.
Les élèves devant La Maison des têtes, superbe demeure de style gothique flamboyant, siège de l'association "Valence, ville d'art et dhistoire"
Les élèves devant La Maison des têtes, superbe demeure de style gothique flamboyant, siège de l'association "Valence, ville d'art et dhistoire"
Au Moyen-âge, des spectacles éducatifs liés à des histoires bibliques, étaient donnés à l'intérieur de la cathédrale, puis par manque de place c'est à l'extérieur, sur l'actuelle place des clercs, située au chevet de la cathédrale, que furent mis en scène les vies des saints.
Dans l'Antiquité, Valentia, colonie romaine prospère, possédait un théâtre de 60.000 places, dont il ne reste malheureusement que peu de traces visibles. Le guide nous a néanmoins conduit dans une ruelle, nommée Côte Sainte Ursule, qui était un "vomitorium", espèce de sortie de secours ou d'allée de circulation du théâtre antique.
La visite s'est achevée au Théâtre de la ville, ancien couvent du XVIIIe siècle, réhabilité en lieu de spectacle au début du XIXe siècle, et aménagé en théâtre à l'italienne par Ange Madonna en 1886.
A l'ntérieur du théâtre de la ville
Enfin, la classe a rejoint le Théâtre Bel image, annexe du théâtre de la ville, pour assister à un spectacle spécialement créé pour la circonstance par la troupe de la Comédie de Valence. Il s'agit d'une adaptation originale d'une pièce de Georges Feydeau, Je ne trompe pas mon mari, donnée dans la salle de répétition mettant ainsi les jeunes au plus près de la scène et des acteurs.
Enfin, la classe a rejoint le Théâtre Bel image, annexe du théâtre de la ville, pour assister à un spectacle spécialement créé pour la circonstance par la troupe de la Comédie de Valence. Il s'agit d'une adaptation originale d'une pièce de Georges Feydeau, Je ne trompe pas mon mari, donnée dans la salle de répétition mettant ainsi les jeunes au plus près de la scène et des acteurs.
Dans quelques jours les élèves pourront discuter du spectacle avec un des comédiens qui viendra au CDI pour échanger avec eux et leur proposer des jeux théâtraux, tels qu'on les pratique en conservatoire.
Catherine Hue, professeur documentaliste et responsable du projet
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire